Le 12 mars. Séance 6. Le petit oiseau de la conscience.
Ce qu’on a appris aujourd’hui :
Aujourd’hui, nous avons appris à étudier un texte plus en profondeur, voir certaines choses que l’auteur a essayé de mettre en avant. Nous avons vu que certaines parties qui nous apparaissaient peu importantes s’avèrent être un épisode central du texte. (X)
Nous avons travaillé sur le petit oiseau de la conscience, ce qu’il représente pour Zézé. Nous avons appris une nouvelle figure de style.
Cet épisode est l’épisode central du livre. Après avoir relâché le petit oiseau, une époque de sa vie se finit et une nouvelle commence : Zézé s’approche de l’âge de raison donc il grandit. Le petit oiseau est l’éveil de la conscience, c’est une métaphore filée. (Y)
Nous avons appris aujourd’hui qu’on peut parler d’un moment important de sa vie à travers un personnage imaginaire (un oiseau pour Zézé). C’est une image, une métaphore (filée, ou allégorie). Il y a aussi l’ « étiologie », : une histoire qui raconte la cause d’un fait. Pour Zézé, c’est la découverte de la conscience. (Mehdi)
Nous avons vu que dans le livre Mon bel oranger, Zézé n’a plus le petit oiseau : il l’a libéré car il ne veut pas que son oiseau meure comme celui de Totoca, sauf que l’oiseau de Totoca est réel. Depuis que l’oiseau de Zézé est parti, Zézé a un conscience : il évolue. L’oranger remplace l’oiseau. C’est un passage émouvant entre l’enfance et l’adolescence. C’est un conte étiologique. (Nancy).